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Quand John Adams, le “Colosse de l’Indépendance,” le deuxième président des Etats-Unis, etc., est arrivé à Paris, pour négocier avec les Français, il ne pouvait pas encore parler Français. Un ami (non, ce n’était pas Benjamin Franklin) lui a dit qu’il y avait deux méthodes pour apprendre le Français. Il pouvait assister à la Comédie Française, ou il pouvait prendre une maitresse. Moi, je suis un petit peu trop jeune pour cette dernière (même si un homme a essayé de me prêter une putain dans un quartier chaud il y a quatre jours), mais je m’intéresse beaucoup aux spectacles parisiens.

Avant de venir à Paris, j’étais hyper intimidée. Je croyais que Paris était  trop grand, que le métro serait compliqué et que je serais perdue tout le temps. Les trois croyances étaient fausses. Malheureusement j’ai d’abord su que le métro était très pratique, avant de me rendre compte que Paris était une ville abordable.  Alors, je vais vous donner plusieurs conseils sur Paris. D’abord, le métro est facile à utiliser. Donc, vous allez vous sentir complètement à l’aise dans le métro en quelques jours. Mon conseil ? Sortez du métro !

J’attends le métro. « Le prochain train vers Boulogne dans une minute », dit la voix. Je mets mon casque et je choisis un album assez long pour le voyage à venir. Les trois correspondances et les 40 minutes de métro seront plus agréables avec cet album. « Back down, down to the downtown… » Oh ! Le métro arrive ! Je monte dans le train, je cherche un siège. Le métro est bondé, mais j’en découvre un à l’extérieur d’un carré. Parfait… le métro part… le voyage commence. Je ferme les yeux… « Would you really rush out for me now… » Nous nous arrêtons à Duroc et j’ouvre les yeux.

I remember being invited to my host mother’s summer house in Normandy when I was an Educo student in France.

Not only was the concept of a “summer house” alien to me, since I’d only lived in apartments growing up in the US, but, more curiously, the extent of freedom to safely wander that one could have in the French countryside was breathtaking.

À Paris, impossible d’échapper à la Seine. La rivière traverse Paris.  Elle est au centre, à gauche et à droite.  Donc c’est entendu, rencontrer la Seine est inévitable à Paris. Alors, la question devient, comment fait-on pour la traverser ?

« Plié, relevé, pas de chat… »

Quand j’ai su que j’allais à Paris, j’ai rêvé de la Tour Eiffel, des musées, des promenades au bord de la Seine et, bien sûr, de la cuisine française. J’étais impatiente de manger de la ratatouille, de la soupe à l’oignon, des crêpes, et tous les mets français. L’idée de la cuisine française était presque aussi enivrante que la nourriture elle-même. J’attendais avec impatience les repas faits à la maison avec ma « famille française ». Les repas faits à la maison sont les meilleurs et j’étais sûre que ma mère française allait concocter des repas délicieux.

Tout à coup on se retrouve fin de novembre. C’est incroyable. D’une certaine manière cela ne me semble pas le début de la saison de Noël et la fin de mon séjour ici à Paris. Ces derniers mois ont passé trop vite, en explorant la ville de Paris, en voyageant partout en Europe, en rencontrant des parisiens et en apprenant un peu plus de la culture française… Tout est trop élégant, trop fascinant, trop drôle. Le temps passe très vite surtout quand on habite dans la meilleure ville d’Europe.

Je ne peux pas décider si je les aime ou je les déteste. On peut dire que c’est du masochisme,  mais même si je suis allergique à l’ingrédient principal, la poudre d’amande, chaque fois que je les mange,  j’ai des rougeurs partout, je continue à en manger. N’importe quel parfum, traditionnel comme framboise et caramel,  ou plus exotique comme l’huile d’olive et mandarine ou fromage de chèvre, tous ces mets pareils, un véritable délice.

Je ne peux pas me rappeler si j’ai appelé ma débâcle à vélo qui s’est passée en septembre ma pire promenade à vélo. Si oui, je redonne cette appellation à mon expérience du week-end passé. C’était un week-end où il faisait tellement beau. Il y avait du soleil, un peu de vent, aucun nuage dans le ciel. Depuis quelques temps je voulais aller vers le sud de Paris en vélo dans la direction de Chatillon et Bagneux, où habitent deux de mes amis. C’était sûrement le jour idéal pour faire cela.